vendredi 16 mars 2012





Une des pratiques cherché à accomplir dans le Carême, c'est la prière. Nous entendons cela à partir de mercredi des Cendres. Nous entrons dans cette période de "désert" pour la rencontre avec le Seigneur et apprendre à ne pas tomber dans la tentation et de chercher une vie de conversion véritable. Nous sommes invités par Jésus à l'expérience de la délicatesse du silence, de le chercher par la prière 
Nous avons besoin de prier sans cesse. Nous sommes appelés à vivre une vie de prière. Le temps du Carême, par conséquent, veut nous aider à renouveler notre vie de prière, de retourner à notre initiation chrétienne suppose également que l'initiation à la prière. Comme nous sommes en ce moment à raviver le don de la vie chrétienne, la vie baptismale, il est supposé également plus difficile de reprendre la vie de prière. La quatrième partie du Catéchisme de l'Église catholique n'est que le «La prière chrétienne", ce qui implique que cette dimension doit être présente dans toutes nos mission catéchétique. Nous prenons ces retraite de quarante jours pour approfondir et de reprendre la pratique avec plus de ferveur 

Seuls ceux qui font un silence sain peut entendre la voix de Dieu, entendre ce que le Seigneur doit parler à chacun de nous, cherchant les dons de l'Esprit Saint pour discerner ce qui est fondamental dans notre intimité avec le Ressuscité, qui est présent au milieu de nous. 


SOURCE :D.Orani John Tempesta, O. Cist 

Archevêque métropolitain de São Sebastião do Rio de Janeiro, RJ



vendredi 9 mars 2012



II- l’aumône 

L'aumône est la première étape de l'amour et le partage. Correcte signifie à donner, donner quelque chose - de l'argent ou des biens -qui sont dans le besoin. Faire l'aumône est un acte profondément éducatif et libérateur pour nous tous. Ceci est parce que, immédiatement, nous sommes obligés de faire confiance à celui qui nous demande de l'aide. Combien de fois nous avons peur d'être trompé ou donner à quelqu'un qui n'a pas besoin, convaincu que les vrais pauvres, sont souvent si humbles et honteux de leur pauvreté ou si vous voulez poser. Si nous décidons de faire un don parce que nous sommes convaincus qu'il est notre frère ou une sœur dans le besoin. Bon signe, nous allons sortir de notre égoïsme. Une autre étape consiste à donner quelque chose que nous devrions nous priver de cela. Nous devons reconnaître que nous avons plus que celui qui demande. Il est le partage. Ce que je peux être le résultat de mes efforts, mon travail, mais il est aussi un don de Dieu. Si vous reconnaissez ce, pourquoi ne pas partager au moins un peu, qui, à ce moment-là est plus difficile? En outre, il est bon de les nécessiteux, étant donné le cœur, ne dépend pas de la quantité, mais juste la générosité et l'altruisme. Rappelez-vous la leçon que Jésus donna à ses disciples quand ils ont admiré les gens riches y mettaient de l'argent dans le trésor du temple. À ce moment-là, Jésus dit la veuve, qui avait placé les deux sous insignifiants, en fait, avait donné plus que tous les autres, parce qu'ils avaient donné leur besoin et non pas les restes de sa fortune (cf. Mc 12,41 à 44.) Là encore, il est destiné, notre sacrifice et notre bonne volonté. 

SOURCE : Dom Pedro José Conti
                                                                            Évêque de Macapa –BR 

lundi 5 mars 2012


vendredi 2 mars 2012

Le Jeûne




« Quand vous jeûnez, ne vous donnez pas un air sombre, comme font les hypocrites : ils prennent une mine défaite pour que les hommes voient bien qu'ils jeûnent. En vérité, je vous le dit : ils tiennent déjà leur récompense. Pour toi, quand tu jeûnes, parfume ta tête et lave ton visage, pour que ton jeûne soit connu, non des hommes, mais de ton Père qui est là, dans le secret ; et ton Père, qui voit dans le secret, te le rendra ».(Matthieu 6, 16-18)

L’enseignement de Jésus concernant le jeûne est très important pour nous assurer que nos efforts de jeûne porteront fruit. Car le jeûne n’est pas sans danger ; il peut devenir lui-même occasion de chute et, plutôt que d’être un moyen de s’approcher de Dieu, le jeûne peut même nous en éloigner.

Qu'est-ce que le jeûne pour nous, chrétiens ? C'est notre incorporation à cette expérience du Christ lui-même, par laquelle il nous libère de notre entière dépendance envers la nourriture, la matière et le monde.

Jeûner ne signifie qu’une chose : avoir faim, jusqu’à la limite de la condition humaine qui dépend entièrement de la nourriture, et là, ayant faim, découvrir que cette dépendance n’est pas toute la vérité au sujet de l’homme, que la faim elle-même est avant tout un état spirituel et que, finalement, elle est en réalité la FAIM DE DIEU....

Nous avons besoin avant tout d'une préparation spirituelle à cet effort du jeûne. Elle consiste à demander aide à Dieu et à centrer notre jeûne sur Dieu. C'est par amour de Dieu que nous devrons jeûner. I1 nous faut redécouvrir notre corps comme temple de la divine présence, retrouver un respect religieux du corps, de la nourriture, du rythme même de la vie.

Le concept du jeûne ne vous oblige pas à mourir de faim. Dans ses apparitions dans Medjurgorje, Notre-Dame elle-même répété à plusieurs reprises. Le jeûne est pour freiner notre avidité et discipliner notre alimentation.


Saint carême !!!


SOURCE:cancaonova.com, pagesorthodoxes.net




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